Le survol des aéronefs civils doit désormais requérir l’autorisation de la présidence

Les impératifs sécuritaires ont obligé le conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité à prendre des mesures strictes. Pour François Beya Kasonga, l’autorisation de survol et d’atterrissage de tout aéronef doit désormais requérir « l’avis préalable obligatoire » du conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité.

Le directeur général de l’autorité de l’aviation civile a été informé de cette décision de la présidence de la République, par la correspondance datée du 4 mai que le Conseiller spécial lui a adressée par le conseiller spécial en matière de sécurité « Pour des raisons évidentes de sécurité nationale, je vous informe que désormais, toute délivrance par vous, en votre qualité de directeur général de l’autorité de l’aviation civile, d’une autorisation de survol et d’atterrissage des aéronefs civils dans l’espace aérien de la RDC est subordonnée à l’avis préalable obligatoire du service du conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité », a écrit François Beya Kasonga.

Dans ce même registre, le conseil spécial du chef de l’État a fait savoir que les mêmes dispositions s’appliquent aux aéronefs d’État (aéronefs militaires ou de la Monusco) pour lesquels précise-t-il, ses services travailleront en collaboration avec l’état-Major du renseignement.

Forum des As

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*