président de la ligue des jeunes de l’Alliance Politique Convention des Congolais Unis et Alliés, “il n’est pas normal que l’on parle de la lutte contre la corruption, sans pour autant exiger des enquêtes pour le meurtre du policier tué à Mbuji-Mayi, un père de famille qui est mort en plein exercice de ses fonctions.
Ce n’est pas tolérable poursuit-il, que l’on s’entretue ainsi, et surtout que l’on porte atteinte à nos hommes en uniforme.
“L’État de droit c’est aussi servir ceux qui ont tué et cassé”, a-t-il déclaré.
A lui d’ajouter, “c’est comme si la mort ne nous disait plus rien”. “Qu’à cause d’une colère, surtout non justifiée, que l’on en vienne à tuer, casser, voler et détruire, sans pour autant en être puni. Je profite pour demander une pensée pieuse à ce digne fils du pays tuer par des bandits qui ne respectent pas la vie”, a dit Thierry Monsenepwo.
Cette réaction de Monsenepwo fait suite à des actes de banditisme commis par des individus non autrement identifiés à Mbuji-Mayi à l’annonce des résultats des sénatoriales.
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