RDC : Luc Kabunangu fustige les critiques « non factuelles et mal placées » de certains membres de l’Union Sacrée face à la gestion du Président Tshisekedi

Luc Kabunangu, a, dans un tweet ce samedi 14 août 2021, fustigé le comportement de certains communicateurs des alliés, membres de l’USN qui critiquent « sans fair-play » la gestion du Président Tshisekedi.

Sans aller par le dos de la cuillère, ce cadre de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) a affirmé que le bilan des 18 dernières années que certains opposants de la dernière pluie partagent avec l’ex Président Joseph Kabila Kabange est déplorable et chaotique.

Pour Luc Kabunangu, l’indexation des groupes des peuples partant des « défaillances » professionnelles de certains individus, tout en imputant faute au Président de la République face aux accusations/allégations déontologiques est mal placée.

Cette pratique contraire à la culture de bonne gouvernance, reflète un manquement grave, celui d’apprendre des 18 dernières années qui imposent aux avertis un changement de paradigme.

« La vérité est impitoyablement monopolistique. Ne partage pas l’espace, surtout pas avec fiction imaginaire, même si nées de complexe inavoué. Beauté de l’inutilement partisan ne trompe pas tout le monde. Le repère de 18 dernières années impose aux avertis un changement de paradigme », a déclaré Luc Kabunangu .

Dans la foulée, ce cadre du parti présidentiel a émis le vœu de voir tous les ambitieux compétir en 2023 pour constater la force de frappe de l’UDPS.

En outre, Luc Kabunangu a soutenu que le bilan du président Tshisekedi et de l’UDPS au pouvoir est largement positif, particulièrement dans l’assainissement de l’administration par la l’amélioration de la gouvernance. Les performances du ministère des Finances sous le warrior Nicolas Kazadi en sont un exemple spécifique.

Pour rappel, des agitations sont parties de la proposition de loi initiée par Noël Tshiani qui propose le verrouillage de l’accès à certains postes qui relèvent de la souveraineté de l’État. Il s’agit par exemple de la fonction de Président de la République, qui ne doit être occupé que par un Congolais de père et de mère.

Cette proposition de loi divise ainsi la classe sociopolitique congolaise. Les proches de Moïse Katumbi, par exemple, y voient une stratégie mise en place par le camp Tshisekedi pour écarter leur leader qui n’a jamais caché ses ambitions de briguer la magistrature suprême.


Africa 24 sur 24 /provinces26rdc.net

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