

Il s’agit de la poursuite de sa tournée dite de vérité des urnes où Fayulu ne cesse de dénoncer la tricherie qui selon lui a caractérisé la dernière présidentielle ayant porté au sommet de l’État Felix Tshisekedi.
A en croire certains observateurs, Martin Fayulu se voit réconforter dans sa démarche par les sanctions infligées le vendredi 22 février par le département d’État américain à l’endroit de quelques personnalités du pays dont le président et vice-président de la CENI.
Il leur est entre autre reproché le fait d’avoir favorisé la corruption dans le processus électoral.
Toutefois, le gouvernement américain a souligné que ces sanctions ne remettent pas en cause sa détermination à travailler avec les actuelles autorités de la RDC.
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