Après l’ouverture du sommet Russie-Afrique mercredi 23 octobre 2019 à Sotchi, l’heure est aux travaux en ateliers dont l’un porte que « les technologies nucléaires, un moteur de développement et une solution durable aux problèmes systémiques du continent ».
La délégation congolaise conduite par le chef de l’Etat Félix Tshisekedi prend part aux travaux. La RDC qui produit de l’uranium dans la province du Haut-Katanga a également son Centre de Recherche sur l’Energie Nucléaire de Kinshasa (CREN-K).
Dans le domaine de l’énergie, les yeux des certaines entreprises russes sont tournés vers le Congo qui détient la moitié des réserves mondiales du stratégique cobalt. Jusque-là, les Russes n’étaient pas encore vraiment impliqués dans le monde des affaires en RDC et ils estiment aujourd’hui que les perspectives sont plutôt bonnes et espèrent en tirer profit.
De nombreux chefs d’État et hommes d’affaires africains sont présents à Sotchi. Mercredi déjà, Vladimir Vladimirovitch Poutine, président de la Fédération de Russie a échangé en tête-en-tête avec son homologue congolais Félix Tshisekedi. Une réunion avec toute la délégation a aussi eu lieu en présence de deux chefs d’Etat. Elle a porté notamment sur la politique, la diplomatie, la santé, l’éducation, les mines, l’économie, d’après Julien Paluku, ministre de l’industrie qui fait partie de l’équipe de la RDC.
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