L’Asbl Bakushinta de la coordinatrice, Georgine Dibua et la commune d’Anderlecht à Bruxelles organisent, jusqu’au 8 septembre, à l’Espace 16 Arts, une exposition originale autour des résistants d’origine congolaise en Belgique dans les années 1940-1945.
Cette annonce a été confirmée par l’Agence congolaise de presse (ACP) de Bruxelles. L’Asbl Bakushinta n’est pas à sa première exposition en ce qui concerne la République démocratique du Congo. Cette exposition, qui a pour thème « restaurer les mémoires », est l’occasion de présenter la valeur ajoutée de la communauté congolaise, ce à quoi les Congolais d’origine ont contribué pour l’édification de la Belgique, a expliqué Georgine Dibua.
« Permettre à ces héros d’être connus »
Pour Dibua, c’est important de raconter pleinement cette histoire, avec d’autres narratifs qui sont jetés dans les oubliettes, afin de permettre à tous ces héros de se reconnaître et d’être reconnus pour leurs actes.
« Portraits mis en avant ! »
L’exposition est constituée d’illustrations, photographies et publications avec, en point de mire, le « Groupe des Congolais du refuge 21 », une armée secrète de résistants à l’occupation allemande formée en 1941 et qui comptait 130 personnes dont 54 Congolais d’une vingtaine d’années installés à Bruxelles. C’étaient notamment d’anciens soldats, employés de bureau, mécaniciens, cuisiniers, ouvriers fondeurs et même coiffeurs, la plupart mariés à des femmes blanches.
C’est le cas de François Kamanda, natif de Kabinda vers 1906 et qui arrive par bateau à Anvers en 1930, d’abord comme domestique, avant de devenir coiffeur puis de rejoindre la résistance.
Michel Longo, né à Seke-Banza en 1895, avait déjà combattu sur le sol belge au sein du 17ème régiment d’infanterie en 1914. Ou encore Antoine Yoka, né à Équateur-ville (ex-Mbandaka) en 1892, il a été fait chevalier de l’Ordre de Léopold.
L’Asbl Bakushinta de la coordinatrice, Georgine Dibua et la commune d’Anderlecht à Bruxelles organisent, jusqu’au 8 septembre, à l’Espace 16 Arts, une exposition originale autour des résistants d’origine congolaise en Belgique dans les années 1940-1945.
Cette annonce a été confirmée par l’Agence congolaise de presse (ACP) de Bruxelles. L’Asbl Bakushinta n’est pas à sa première exposition en ce qui concerne la République démocratique du Congo. Cette exposition, qui a pour thème « restaurer les mémoires », est l’occasion de présenter la valeur ajoutée de la communauté congolaise, ce à quoi les Congolais d’origine ont contribué pour l’édification de la Belgique, a expliqué Georgine Dibua.
« Permettre à ces héros d’être connus »
Pour Dibua, c’est important de raconter pleinement cette histoire, avec d’autres narratifs qui sont jetés dans les oubliettes, afin de permettre à tous ces héros de se reconnaître et d’être reconnus pour leurs actes.
« Portraits mis en avant ! »
L’exposition est constituée d’illustrations, photographies et publications avec, en point de mire, le « Groupe des Congolais du refuge 21 », une armée secrète de résistants à l’occupation allemande formée en 1941 et qui comptait 130 personnes dont 54 Congolais d’une vingtaine d’années installés à Bruxelles. C’étaient notamment d’anciens soldats, employés de bureau, mécaniciens, cuisiniers, ouvriers fondeurs et même coiffeurs, la plupart mariés à des femmes blanches.
C’est le cas de François Kamanda, natif de Kabinda vers 1906 et qui arrive par bateau à Anvers en 1930, d’abord comme domestique, avant de devenir coiffeur puis de rejoindre la résistance.
Michel Longo, né à Seke-Banza en 1895, avait déjà combattu sur le sol belge au sein du 17ème régiment d’infanterie en 1914. Ou encore Antoine Yoka, né à Équateur-ville (ex-Mbandaka) en 1892, il a été fait chevalier de l’Ordre de Léopold.
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